Garanties Locatives
Se prémunir des impayés grâce aux garanties locatives

Les garanties locatives protègent le bailleur contre les risques de loyers impayés. Suivant le profil du locataire, les obligations couvertes et le type de logement, plusieurs solutions s’offrent au bailleur pour sécuriser son investissement locatif.
Sélectionner avec soin ses futurs locataires et vérifier leurs solvabilités
Afin de réduire les risques de loyers impayés, le bailleur devra tout d‘abord s’assurer de la solvabilité de son futur locataire. Pour ce faire, il devra vérifier que les ressources du locataire sont suffisantes pour couvrir les frais de location. Comme preuve de sa capacité à honorer ses charges locatives, le locataire pourra, par exemple, fournir des documents justificatifs de son revenu avec son dossier de candidature.
Par ailleurs, le bailleur peut aussi demander au locataire de désigner un garant dont il se chargera lui-même de vérifier la solvabilité. Grâce à l’ « acte de cautionnement », le propriétaire aura l’assurance que les loyers et charges locatives seront couverts par le garant s’il advenait que le locataire ne puisse s’en acquitter.
l’acte de cautionnement ne peut pas être cumulé avec d’autres garanties locatives ou assurance loyers impayés sauf pour le cas d’un locataire étudiant ou stagiaire.
Attention, lorsque vous décidez de faire un investissement locatif, au-delà du critère de solvabilité, il est indispensable de considérer le facteur de relations humaines et de louer votre bien à un locataire à qui vous êtes prêt à accorder votre confiance.
Souscrire une assurance loyers impayés ou GLI
- la couverture des frais juridiques et des frais de contentieux engagés par la poursuite du locataire déficient,
- la réparation des dégradations locatives,
- l’indemnisation de l’inoccupation temporaire du logement à la suite d’une rupture inopinée du bail.

Souscrire une garantie Visale
- des jeunes locataires de moins de 30 ans, étudiants ou alternants ou quelle que soit leur situation professionnelle,
- des salariés précaires de plus de 30 ans travaillant, dans le secteur privé ou agricole, en intérim ou en CDD, nouvellement embauchés ou en période d’essai hors CDI confirmé,
- des titulaires de bail mobilité et des ménages subventionnés par un organisme d’intermédiation locative pour une période limitative de 3 ans.